La place des militant·es de Greenpeace n’est pas en prison
La place des militant·es de Greenpeace n’est pas en prison
Le 30 octobre, huit militant·es et un porte-parole de Greenpeace France seront jugé·es en appel à Metz. Ces femmes et ces hommes risquent la prison pour avoir dénoncé le risque nucléaire lors d'une action dans la centrale nucléaire de Cattenom, en Moselle. Ils et elles l'ont fait pour nous :…
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